OMO!!!!
MERCI XD!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! merci beaucoup !!! Désolé hein de t'avoir fais pleurer u_u *même si je suis super contente :p* mdrr WOuaaaaaaaaa la meilleure fic ? C'est vraiment trop adorable oO!!! wouaa *0* c'est moi qui vais pleurer maintenant.... Non franchement c'est super trop mega sympa de me dire ça...!!! Wouaaaaaaaaaaaa
Ne t'inquiète pas, j'adore les maxi commentaires mdr! ça me fais vachement plaisir en tout cas!!! merci ♥
Blue-K: Mais non t'inquiète mdrr c'est pas grave si tu te répète, au contraire, je suis super contente^^ oui parce que cela veut dire que tu aimes toujours autant ^^ enfin bref voilà le dernier chapitre^^
Bonne lecture les filles!!!!
Chapitre 10.«
Hyukie » soupirais-je contre tes lèvres.
Mon dieu, j’ai l’impression de rêver tellement c’est beau…attendez, c’est peut-être le paradis ? C’est ça ?
J’encadre ton visage avec mes mains, et plonge mes yeux dans les tiens…il fait complètement nuit, il fait sombre, nous sommes juste éclairés par les timides rayons de la lune… Je maudis les ténèbres de la nuit, m’empêchant de pouvoir te contempler…
J’arrive cependant à percevoir tes yeux noirs…ils m’ont tellement manqués… Je replonge contre ta bouche, te la dévorant. Je te la mords doucement, je passe ensuite ma langue dessus essayant d’atténuer la douleur que mon ivresse a pu provoquer sur tes deux bouts de chairs, mais je ne m’arrête pas pour autant. Je place alors mes doigts sur ta nuque te faisant frémir, pour ensuite aller les cacher dans ta chevelure blonde.
Je ne veux pas arrêter de t’embrasser, je ne veux pas revenir à la réalité, je ne veux pas voir, que ma folie m’a de nouveau donnée de faux espoirs…je veux juste profiter de toi. Illusion ou pas, pour l’instant, j’ai vraiment l’impression de t’avoir contre moi, alors je profite, laissant aller tous les sentiments accumulés durant tous ces mois d’abstinence.
«
Hae, Hae » je la discerne. Je t’entends. Je me recule prudemment, mettant fin au baisé.
Je reste à quelques centimètres de ton visage.
Tu es magnifiques, je peux sous cette douce lueur, percevoir tes lèvres rosies par le baiser que nous venons d’échanger, tes yeux humides, laissant échapper en continus quelques perles d’eau salées qui viennent calmement s’écouler sur tes joues devenues rouges par l’effort.
«
Hae ». Encore. Je t’entends, et je ne sais toujours pas si je rêve…c’est trop beau pour être vrais…tu es vraiment la Hyukie ? C’est toi mon amour ? Tu es de retour ? Je ne sais pas…
Mes larmes dévalent mes joues sans que je ne puisse faire quelque chose, c’est beaucoup trop dur….j’ai peur mon dieu Hyukie, dit moi que tu es enfin de retour, dit moi que c’est toi que je touche en ce moment, dit moi que se sont tes lèvres que j’ai embrassé, dit moi que c’est ton corps qui est en face de moi, dit moi que c’est toi…dit le moi s’il te plait. Ne me laisse pas, non pas encore….
«
Hae » je ferme les yeux, je ne veux plus te regarder, je tremble de peur…Je ne veux pas affronter la réalité, je ne veux pas voir que je me suis encore fais des illusions, non je ne peux pas.
Je compte jusqu’à trois, et j’ouvre les yeux…si tu es encore là, c’est que…c’est que…
«
Hae, regarde-moi » un murmure. Un baisé sur ma joue gauche. Je frisonne de plaisir.
Ton souffle chaud caresse mon visage m’encourageant à ouvrir les yeux.
J’ouvre les yeux.
Ton sourire, ton sourire oh mon dieu je l’avais presque oublié…tu es si beau mon amour…
Tu as l’air de comprendre dans quel état je suis, tu as toujours sus lire en moi, ça ne m’étonne pas.
Tu approches lentement de mon visage, pose ton front contre le mien, et tu croise nos doigts ensembles. Tu passes ton bras de libre autour de mon cou et c’est d’une toute petite voix que tu me murmures à l’oreille « J
e suis de retour mon amour, je suis là…pardonne moi… ».Je ne t’écoute plus, je fonce de nouveau attraper tes lèvres. Je murmure sans me lasser de répéter ton nom entre tes lèvres alors que toi tu me murmure faiblement des « je t’aime ». Enfin mon amour tu es de retour… Nous ne voulons pas nous arrêter. C’est bien trop tôt, après tout, combien de temps que nos corps ne se sont pas retrouver ? Trop longtemps.
Je ne m’arrête pas de t’embrasser, je suis comme un droguer en pleine consommation d’une dose qu’il n’avait pas pu consommer depuis trop longtemps. Mes poumons sont en feux, mais je continus, je ne veux pas arrêter. Je m’accroche désespérément à ton tee-shirt te faisant rapprocher contre moi encore, encore et encore plus de moi. Je ne veux plus me séparer de toi…
Je ne sais pas combien de temps nous avons passés à nous embrasser comme ça, mais je sentais ton corps s’alourdir de plus en plus. Je quitte alors t’es lèvres pour mieux t’admirer.
«
Hae » appelles tu dans un murmure, me faisant frissonner de tout mon être tant c’était bon…
« Je veux rentrer » tu as dit ça comme si c’était une supplication.
Tu veux rentrer avec moi ? Chez nous ? C’est donc vrais mon amour, je ne rêve pas…tu es bien de retour ?
« Kang In » murmures tu dans un soupire « appelle-le… » Tu fermes les yeux, et c’est lentement que tu poses ta tête contre mon épaule. Je passe instinctivement mes bras autour de tes hanches, enfonce mon visage dans ton cou. Là, je pose mes lèvres contre ta peau, qui m’avait tant manqué…
Tu te blottis un peu plus contre moi, toujours les yeux fermés, avant de soupirer d’aise. Je passe ma main dans ta veste, et en sort ton téléphone portable. Je sélectionnais alors le numéro de Kang In…
«
Nounours ? » demandais-je en entendant la voix de Kang In hurler.
Silence. Je souris et j’imagine la tête que doit aborder mon ami à l’heure actuelle.
« Hae ? C’est toi ? »
« Oui, Hyukie m’a sauvé. » Un soupir de soulagement ce fait entendre et je ne peux m’empêcher de rire.
« Vous êtes ou la ? » me demanda-t-il avec je devine un sourire aux lèvres.
« La falaise à côté du parc, mais attend moi devant le parc, j’arrive avec lui, il s’est endormi »Une fois la communication terminée, j’entrepris de porter mon homme tel un princesse vers la voiture de Kang In.
*
Chez Monkey et Fishy :« Tu m’as vraiment fait peur tu sais »
« Je suis désolé, mais je n’en pouvais vraiment plus…c’était trop dur. Mais je me demande comment est-ce qu’il a fait pour retrouver la mémoire…tu as une idée toi ? »Il se gratte la tête une moue adorablement gêné au visage. Il croise ensuite mon regard et fini par lâcher le morceau.
« Humm…ben j’ai trouvé un livre sur ta table, et j’ai lus les premières pages et je suis partis en trombe chez lui pour lui apporter » dit-t-il un sourire gêné aux lèvres.
Mais je ne lui en veux pas, au contraire. Grace à ce nounours, nous avons pu nous retrouver.
« Tu as encore une fois été là pour nous…je me demande ce que je peux faire pour rembourser mes dettes auprès de toi nounours »
Il sourit franchement me donnant une petite tape à l’arrière de la tête.
« Sal Fishy, contente toi d’être heureux avec Monkey »J’esquissais un petit sourire et couvrais Hyukie à l’aide des draps. Je m’arrêtais alors au niveau de son visage, posant doucement ma main contre sa joue. Un petit sourire vint orner mon visage et je me baissé pour embrasser son front. Il ronronna quelque chose dans son sommeil, quelque chose d’incompréhensible et se tourna.
Kang In et moi amusés par son comportement rions à voix basse avant de quitter la chambre.
«
Bon je vais y aller, je vais vous laisser tranquille pour la nuit »
« Hum je vois, tu vas aller chez Teukie. Coquin » dis-je en lui touchant la joue avec mon index le faisant rougir.
« Chut va dormir ! » Rétorquas-t-il un sourire gêné aux lèvres.
Nous descendions alors les marches, et au moment où Kang In franchissait la porte d’entrée, je lui dis.
« Merci pour tout Kang In. »Il parait surpris, mais fini par sourire chaleureusement. Et c’est le plus naturellement possible que je le vois entrer dans sa voiture, fermer la portière avant de démarrer en trombe retrouver son amant de toujours.
Je soupirais en fermant la porte et décidais d’aller rejoindre Hyukie en haut. Mon dieu, enfin, enfin j’allais pouvoir sentir son corps endormis contre moi. Enfin je pourrais m’endormir en le serrant dans mes bras.
Pressé de retrouver mon bel endormi, je montais les marches deux à deux et m’enfermais dans notre chambre…
*
De la lumière, du vide, voilà ce que je vois lorsque j’ouvre les yeux. J’ai peur. Ou était-il ? L’avais-je loupé ? Avais-je échoué ? Ne l’avais-je pas rattrapé ? Pris de panique je sautais du lit en manquant de trébucher sur les draps blancs qui avaient échoués sur le sol un peu plus tôt. Seulement une réalité me rattrape me faisant figer sur place.
Les murs en bois anciens, la petite fenêtre sur la gauche faisant entrer les rayons du soleil, là-bas juste à côté du lit une table de chevet ou reposais tranquillement une petite lampe ainsi qu’un cadre à photo, à droite tout au fond de la pièce une grande armoire…
Je tournais la tête dans tous les sens, et posais mon regard dans toute la pièce, je réalisais que j’étais dans ma chambre. Notre chambre.
Un sentiment d’apaisement m’envahit alors, en sentant deux bras venir m’encercler la taille, sentant un souffle chaud caresser le long de ma colonne vertébrale pour enfin venir s’écraser sur mon cou. Je frémis en sentant des lèvres sur ma peau blanche, et c’est instinctivement que je balance ma tête en arrière. Je ferme les yeux, car je sais que c’est toi mon amour. Je sais que j’ai réussi à te ramener…je sais que plus jamais nous serons séparés, et je sais aussi que tu m’aimes. Enfin je comprends, tous les sentiments que tu peux ressentir lorsque je caresse ta peau ou encore lorsque je t’embrasse tout simplement… Je ne douterais plus jamais de ton amour mon cœur, jamais plus. Je sais enfin que tu m’aime comme moi je t’aime, et c’est magnifique…je me demande même si tu ne m’aime en réalité bien plus que moi je ne peux t’aimer. Après tout, je ne sais pas si j’aurais réussis à rester à tes côtés en te cachant la vérité alors que tu aurais perdus la mémoire.
Tu es fort mon cœur, tu l’es tellement que ça me brise le cœur d’être le responsable de ta tentative de suicide.
Je me retourne doucement vers toi, et admire, contemple ton visage.
Le visage plutôt ovale, tes petites mèches brunes venant cacher ton front, les sourcils épais mais tellement bien dessinés, la forme de tes yeux en amende, enfermant à elles deux, deux joyaux noirs me faisant tout bonnement fondre…ton nez arrondi, radoucissant les traits de ton visage si parfaitement droits, tes lèvres rebondies à souhait… tu es mon amour magnifique.
Je caresse alors ton visage tranquillement, me délectant de la douceur de ta peau. J’approche mon visage du tien alors que je sens tes mains enfermer plus étroitement mes hanches. Ne t’inquiète plus mon cœur, je ne m’en irais plus… du moins nul part sans toi…
Je pose calmement mes lèvres contre les tiennes. Juste quelques secondes, mais juste assez pour nous faire ressentir un million de frisson dans tout notre corps. Je crois que je suis encore un peu affaibli par ma course effréné de la nuit dernière, car quand je recule mon visage mon corps et tout tremblant. Je tremble…je suis heureux, enfin je me sens entier…enfin j’ai compris que c’étais toi qui me manquais. Je t’avais peut-être oublié mon cœur, mais j’avais toujours ressenti un vide dans mon cœur.
Mais maintenant tu es là, et je suis là.Je pose mon front contre le tien, tout en caressant tes joues, tes mains s’amusent à retracer la ligne de ma colonne vertébrale, ne faisant que l’effleurer, me faisant frissonner de plaisir. Je cale ensuite mon visage dans ton cou, m’enivre de ton odeur qui m’avait tant manqué tout en caressant ton torse nu.
Aucun mot n’est échangé, le silence règne, nous laissant tous deux dans notre bulle. Je relève la tête pour plonger dans tes yeux, toujours dans ce silence. Mais nous n’avons pas besoin de parole pour nous comprendre, notre cœur, notre corps, parlent pour nous…et là je sais que nous avons besoins de la même chose. Comme le dirais Alfred de Musset «
La bouche garde parfois le silence pour écouter parler le cœur ».Tu as besoin de me sentir contre toi, de sentir mes caresses sur ton corps, de m’entendre gémir ton nom au creux de ton oreille, de me sentir autour de toi. Tu as tout simplement envie de moi, comme j’ai envie de toi.
Je t’embrasse alors de nouveau, mais cette fois ci, le baisé ce fait plus appuyer, plus intense tout en restant cependant dans la douceur. Tu passes ta langue sur mes lèvres me faisant gémir de bonheur. J’entrouvre alors les lèvres pour te laisser calmement occuper ma bouche. Mes mains caressent ton dos alors que les tiennes viennent tendrement fouiller dans mes cheveux, essayant d’approcher mon visage encore et toujours plus près du tien. Tu ne supportes pas de sentir l’air se faufiler entre nos deux corps, tu veux au contraire ne sentir que la chaleur de mon corps contre le tien.
Le baisé dur, encore et toujours jusqu’à ce que nous sentons tous deux, l’envie d’être à l’autre devenir un peu plus forte.
Tu prends alors ma main droite dans la tienne, et tu m’entraines calmement vers notre lit. Tu me fais allonger, et prends ensuite place à mes côtés. Tu poses ta tête contre mon torse, et écoute les battements de mon cœur, que je devine effrénés, mais «
La passion est la distraction du cœur » n’est-ce pas ?
Tu caresses lentement mon bras nus, remontant doucement le long de ma peau, pour ensuite prendre le chemin inverse me faisant soupirer de plaisir. Mes bras enferment le haut de ton corps, et une de mes mains caresse tranquillement t’es cheveux.
Nous restons ainsi, les yeux fermés, savourant la présence de l’autre sans piper mot pendant une durée que je ne pourrais déterminer.
Cependant, j’en veux plus, et tu en veux plus.Tu déposes des baisés papillons sur mon torse, et je desserre l’emprise que j’ai sur toi, te permettant ainsi de continuer ta douce torture sur toute la surface que mon corps te donnes.
Tu n’omets aucun bout de peau, et j’ai l’impression de te sentir en moi. De fusionner avec ton corps devenu brûlant de plaisir. Je fonds sous ta chaleur, engourdissant mes membres, mais c’est doucement que je tire lentement ton visage vers le mien. C’est dans une demande silencieuse, que je te quémande un baisé. Tu souris, et c’est tendrement que tu me donnes un baisé.
Tes mains ne cessent de parcourir mon corps, et j’ai l’impression de devenir fou tant l’amour que je ressens dans tes gestes est beau, grand, inqualifiable. Je me sens affreusement mal, en repensant à tout le mal que j’ai pu te faire durant cette année. Et je ne peux empêcher les larmes de couler.
Je me sens tellement faible, mais je suis tellement heureux de savoir que tes bras sont là pour me rattraper, pour me protéger, que mes larmes se transforment en larme de pur bonheur.
Mon dieu Hae, Je suis heureux. Je suis tellement heureux de pouvoir t’aimer pleinement mon amour.
Encore une fois, nous n’avons pas besoin de mot pour nous comprendre. Tes yeux s’ouvrent, et cherche prudemment la raison de mes larmes. Je te souris alors passant ma main sur tes joues te faisant à ton tours frissonner de bonheur.
Tu me souris, et enfonce ton visage dans mon cou me déposant un million de baisé. Tu descends alors un peu plus, toujours en me faisant subir tes délicieux assauts. Je me cambre soudainement un peu plus, sentant tes lèvres appuyer contre le tissus recouvrant mon fruit interdit.
Je relève le haut de mon corps en déposant mes coudes sur le matelas, et mes yeux rencontrent les tiens. Ton regard est empli de malice, et il me fait un effet monstre. Tu le vois et tu souris. Toujours ce sourire qui a le don de me rendre fou.
Tes mains s’emparent lentement de l’extrémité de mon vêtement, et le fais glisser le long de mes cuisses et de mes jambes.
Me voilà à présent nus, et c’est comme une vierge effarouché que je me cache le visage avec les deux mains, retombant violement en arrière. Tu te redresses alors, et je devine le petit sourire que tu abordes. C’est dans une lenteur monstrueuse, que tu remontes le long de mon corps et que tu entreprends d’enlever mes mains qui cachent mon visage, toujours dans cette douceur maladive.
Tu me rends fou.Tu parviens au bout de quelques minutes à dégager lentement mes mains et tu me déposes directement un baisé sur mon front. Nos regards se croisent , et tu recommences, mais cette fois ci sur mes deux tempes, me faisant fermer les yeux. Tu en profites alors et tu déposes un baisé sur mes lèvres.
Ta main droite caresse mon visage tout en reposant ton coude à côté de celui-ci, pendant ce temps-là, ta main gauche, se fait beaucoup plus taquine caressant ma virilité, me faisant me cambrer toujours plus contre ton torse.
Tu ne cesses de me déposer des baisers papillon sur le front, sur la bouche, sur le nez ainsi que sur le cou me faisant encore plus soupirer d’aise. Mes mains caressent ton dos alors que le plaisir que tu me donne s’empare de plus en plus de moi.
Et c’est dans un gémissement plus grave que les autres, que je me libère dans ta main. Ma respiration ce fait beaucoup plus courte. Et j’ai cette même impression à chaque fois que je suis avec toi, que mon cœur va exploser tant il bat fort.
Un moment passe sans que nous cessions de nous regarder dans les yeux, avant que je me décide de prendre les commandes.
Avec un petit mouvement du bassin, je te fais perdre l’équilibre, et je te rattrape dans mes bras. J’embrasse alors le sommet de ton crâne, et fini enfin par te retourner, t’allongeant sur le dos.
Tu me souris, je te le rends tout en te volant un baisé.Je commence par déposer des baisés papillons sur tout le long de ton torse, mes lèvres sont bien vites rejointes par ma langue traçant sensuellement des sillons transparents sur ton corps en ébullitions. Ton torse se soulève de plus en plus me faisant sourire.
J’aime savoir que moi aussi je sais te donner du plaisir. Donner du plaisir à son partenaire est tout de même quelque chose de fabuleux.
Une phrase que j’avais alors lus quelque part, me revint en tête me faisant sourire tant je me sentais viser «
Elle ne cherchait pas le plaisir d’autrui. Elle s’enchantait égoïstement du plaisir de faire plaisir ». J’arrivais à la hauteur de ton membre recouvert comme le mien auparavant par un boxer. Je l’enlève alors lentement faisant durer le plaisir qui je sais est entrain de te consumer petit à petit.
Je veux faire durer tout le plaisir que nous ressentons, je veux que chaque moment s’ancre dans mon cerveau et cela pour toujours. Je veux me souvenir de ton visage, rougis par le plaisir que je te donne, de la petite lueur qui brille dans tes yeux me suppliant de continuer ce que je m’apprête à faire… je veux me souvenir de ton corps tremblant de plaisir lorsqu’enfin mes lèvres tel une douce caresse viennent s’emparer de ton sexe.
Tu émets alors un grognement affreusement sexy, et je ne peux m’empêcher de commencer mes mouvements de vas et viens. Je ne veux pas te regarder dans les yeux mon amour, car je sais, je sais que je perdrais pied pour de bon dans ce tourbillon de sensation. Je ferme donc les yeux et savoure, m’enivre du plaisir que je peux te donner. Je me fais guider par les sons qui sortent de ta bouche créant une douce mélodie dont je me délecte avec plaisir.
Je ne sais pas combien de temps passe, mais lorsque tes doigts s’enroulent dans ma chevelure blonde, je comprends qu’il faut que je m’arrête. Car je sais, je sais que tu ne vas plus tenir.
Tu me remontes par les aisselles, et c’est en faisant honneur à mon surnom, que je m’installe sur tes cuisses, les jambes de part et d’autre de ta taille t’entourant fermement. Je passe mes mains autour de ton cou et je pose mon front contre le tiens. Nous n’arrivons plus à respirer convenablement, mais peu importe, le plaisir et là. Je te sens sourire alors que tu m’embrasse. Je remonte un peu sur mes genoux, faisant rencontrer nos deux virilités. Un petit soupire de plaisir s’échappe de notre baisé tant le contacte est électrisant.
Je m’accroche alors à ton cou, pour ensuite faire glisser mes doigts sur tes deux épaules, je resserre ma prise et enfouit mon visage dans ton cou.
Je sens tes mains glisser lentement le long de mon dos pour finir leur parcours sur mes fesses. Je ne peux m’empêcher de te mordre gentiment l’épaule, alors que je sens un de tes doigts entrer dans mon intimité.
Ton visage comme le mien est caché dans ton cou, mais contrairement à moi, tu me déposes des baisés, essayant de me détendre. Mais mon amour, je peux tout supporter pour pouvoir fusionner avec toi, alors ne te prives pas…
Enfaite j’ai atteint ma limite. Je ne peux plus attendre que tu me prépares pour pouvoir entrer en moi. Je n’en peux plus, le sentiment de manque devient de plus en plus fort et c’est bien pour cela que je me recule, faisant rencontrer nos yeux.
Les tiens sont brillants de plaisir et je ne peux que sourire en pensant que je suis le seul à te voir dans cet état. Tu es désirable mon cœur tellement que je si je continus à te regarder te mordre la lèvre avec ce regard, je pourrais jouir. Je caresse ton visage, te fixe, et tu comprends que j’ai atteint ma limite, que je te veux en moi. Là maintenant. Tout de suite, je veux te sentir au plus profond de moi. Je veux sentir tout l’amour que tu me portes. Je veux sentir la puissance de tes coups de reins reflétant la puissance de ton amour…oui je le veux et je vais devenir fou tant je meurs de plaisir rien qu’en m’imaginant les sensations que je vais redécouvrir dans tes bras dans quelques instants.
Tu soulèves alors mon bassin, et tu me fais reculer de quelque centimètre. Tes gestes sont doux, et sur d’eux. Tu es tendre mon amour, tu l’as toujours été, c’est bien pour cela que j’ai toujours eu l’impression de faire l’amour pour la première avec toi. Peu importe le nombre de fois que nous le faisions, c’était toujours la même chose…de l’amour encore et encore de l’amour.
Je sais que jamais personne ne pourra me faire sentir tout ce que je ressens lorsque nous faisons l’amour. A vrai dire, je ne sais moi-même pas mettre de mot sur les différentes sensations qui m’habite durant ce moment magique.
Pour plusieurs personnes, faire l’amour ce résume à une pénétration, à du sexe, mais pas pour nous.Pour nous, c’est de l’amour. De l’amour pur qui n’as pas besoin de tant de chaleur... la force de nos sentiments rend nos ébats bouillants à souhait. Nous avons l’impression de brûler lorsque nos peaux ce frôlent. Toutes les sensations charnelles, toute nos impressions me font penser à un océan de sentiment tant elles sont nombreuses. Notre amour parfois j’ai l’impression est tellement fort, qu’il nous suce la moelle jusqu’à pouvoir s’attaquer à tout notre organisme. Notre passion est tellement puissante qu’elle nous rend fou, qu’elle nous consume tout bonnement.
Tu m’embrasses furtivement et me places je le devine au-dessus de ton sexe. C’est alors avec douceur, que tu m’aides à progressivement t’enrober dans mes parois de chairs.
Tu es enfin en moi. Tu ne bouges plus, mais je peux entendre les doux gémissements que tu émets au creux de mon oreille me rendant fou.
Je commence alors la dance provoquant un premier mouvement. Ma tête pars en arrière tant le plaisir est intense.
Ce n’est pourtant pas la première fois que nous, nous unissons, mais les sensations qui en ce moment m’enveloppent sont indescriptibles. Je ne peux plus retenir les gémissements qui s’échappent de ma gorge. Je n’en peux plus…c’est vraiment trop bon.
Tes mains m’aides dans mes mouvements, mais tu en veux plus, c’est pour cela que tu te relèves me faisant bouger en arrière, les jambes toujours enrouler autour de tes hanches. Tu m’allonges et tu reprends le rôle de dominant, te plaçant au-dessus de moi.
Ton visage est déformé par le plaisir, et c’est une nouvelle fois que je me permets d’esquisser un sourire. Je suis celui qui te donne tout ce plaisir, moi et personne d’autre.
Je te sens à présent au plus profond de mon être, touchant toujours plus fort, plus fréquemment la glande au fond de moi. Je me tords de plaisir, m’accrochant à tes épaules, soupirant d’aise comme je ne l’avais jamais fait. Je cris mon amour, je cris le plaisir que tu me donne. Je me sens tellement bien que j’ai envie que jamais ce moment ne cesse.
Cependant, toutes les bonnes choses ont une fin.
Je sens tes mouvements accélérer et surtout je sens ton souffle chaud devenir de plus en plus saccadé contre mes lèvres. Nous ne pouvons même plus nous embrasser, tant notre esprit donne l’impression d’avoir quitté notre corps.
J’agrippe avec le peu de force qui me reste ton visage et t’oblige implicitement à me déposer un baiser. Je veux sentir ton amour à travers tes lèvres…je veux le sentir encore et encore, par tous les moyens possibles. Notre amour négligé par ma faute pendant cette longue période est tellement fort. Dieu que c’est bon de pouvoir ne refaire qu’un avec toi mon amour.
Tellement bon, que nous ne tardons pas à jouir.
Moi en premier, me déversant contre ton ventre plat. Mes forces me quittent petit à petit et je dois me faire violence pour ne pas baisser les bras qui sont toujours enroulés autours de ton cou.
Tu viens ensuite à ton tour, tu te déverse en moi. Et je me sens bien. Tellement bien que j’ai envie de pleurer. Je croise ton regard et je vois que tu es dans le même état que moi…tu caresses mon visage amoureusement avec tes mains, qui sont de part et d’autre de mon visage.
Tu sembles songeur, et je devine aisément à quoi tu penses. Tu te demandes si tu rêves n’est-ce pas mon cœur ? Mais non ne t’en fais pas…je suis là…enfin je suis de retour.
Tu fermes les yeux, et de nouveau pose ton front contre le mien. Je te vole un baisé, tu souris les yeux fermés et c’est comme si tu me murmurais un secret que personne ne devrait entendre, même pas les petites particules d’air :
« Je t’aime »Je caresse ton visage, et je sens de nouveau des frissons me parcourir le long du corps. Je trouve que mon amour pour toi n’a pas de mot…je n’ai jamais pensé que ces trois mots pouvaient représenter tout l’amour que je peux te porter. Cependant, je ne connais pas d’autre mot qui s'en approche… c’est donc pour cela que d’une petite voix je te murmure à l’oreille.
« Moi aussi Hae, moi aussi je t’aime ».J’ai été, je suis et je serais à jamais là mon cœur. Fin
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